Les prises de position du pape François (et des papes précédents) sur les questions sociétales contemporaines sont pour le moins inadaptées, totalement inadaptées !
L’institution église, en tant qu’institution sort de la logique générale des sociétés contemporaines. De ce fait,
- Demander à l’Église de se situer dans son corps spirituel est un bienfait.
- Doubler l’Église de prises de positions sur les réalités contemporaines est une grossièreté.
La mémoire de l’Un (la mémoire que nous avons de la source divine) est universelle.
La « jeunesse[1] » est une liberté profonde inconnue des ecclésiastiques.
Par exemple, l’idée du pape François de profiter des connaissances médicales (celles de la psychiatrie) pour endiguer la dérive planétaire de l’homosexualité est elle-même une dérive de l’église car l’origine de cette réalité est une véritable ignorance par les ecclésiastiques, ignorance partagée avec la société contemporaine elle-même (voir au sujet de cette superficialité sociétale l’article du monde nouveau Homosexualité due à une intériorité authentique ou Homosexualité par facilité psychique ? ). Donc un débat entre deux ignorances (celles des ecclésiastiques et celle de la société). Cela ne peut donner que des errements, des impasses et une dégradation globale supplémentaire.
Vérifions l’énergie « jeunesse » : Se placer dans cette énergie jeunesse produirait :
- Une déconvenue pour les tenants du cycle de décompositions sociétales amorcées
- Un ralentissement des mécanismes trompeurs en exercice dans la société actuelle.
La «jeunesse » renouvelle l’alliance homme-femme dans l’accomplissement de la liberté intérieure et dans la véritable alliance spirituelle possible, au niveau accepté par le couple constitué de l’être masculin et de l’être féminin.
Le 28 août 2018
Pierre Marie
[1] La jeunesse intérieure