Le Monde Nouveau

Différentes approches, différents regards, différentes études biologiques établissent un lien entre autisme et vaccination. Ainsi,  tel médecin montre que l’autisme a commencé son développement quantitatif avec les vaccinations, tel biologiste découvre la présence de bactéries de la rougeole dans l’intestin des enfants autistes, tel biologiste fait le lien entre le mercure des vaccins et l’autisme. Des groupes religieux aux États-Unis et vivants en marge de la société et refusants les vaccinations connaissent un pourcentage très inférieur d’enfants autistes, etc…

Ainsi …de plus en plus de parents, avec des compréhensions différentes, ont conscience du danger pour leurs enfants. 

Je vous présente dans cet article le regard de la science de l’âme, que se passe-t-il dans l’âme de l’enfant lors de la vaccination ?

La réalité spirituelle est souveraine : elle engrange des souvenirs, découvre dans l’être des espaces différents, amoindrit les contrariétés, enrichit l’âme, etc…

L’effroi est tangible pour l’âme. L’effroi est palpable, il est une réalité claire qui forme un astral particulier.

Comment se constituent les empreintes de l’âme selon les âges ?

La mémoire de l’effroi perdure longtemps selon l’âge dans lequel il a été mémorisé avec une ampleur qui diminue selon les évènements ultérieurs, amoindrissants ou exacerbants l’empreinte initiale formée à tel ou tel âge.

• La jeunesse favorise le socle astral dans ses contours principaux. En général, ce qui précède l’adolescence agrandit l’ampleur de la mémoire, puis l’adolescence engrange des confortations (la venue d’évènements similaires vont consolider, fortifier la mémoire formée dans l’enfance)
• L’adulte, différemment, répand une flamme de divergence avec la mémoire ancienne (en augmentation ou en diminution).

La mémoire de l’enfance est semblable à une toile de peinture qui représente les impressions reçues.

La vaccination débute à l’âge où tout s’incruste comme une mémoire active. La mémoire du nourrisson est commandée par l’astral de la famille, particulièrement de la mère qui enfante, nourrit, éduque, protège. La réussite de l’enfant est celle de la lumière, la sérénité, le calme, la complicité, la distance avec le monde arrogant, avec les dangers.

L’hostilité, le karma sont loins de l’enfance, Le karma  accomplit un mouvement à 9 ans, inscrit un registre à 12 ans, nourrit une amplitude à compter de 17 ans.

La formation de la tendresse est immédiate. Elle connaît une ampleur à 2 ans et l’enfant comprend la vertu de la  tendresse à 10 ans.

Le mouvement de l’enfant vers la progression, l’assurance envers l’extérieure peut devenir une retenue…

La retenue chez l’enfant provient de  l’accomplissement contrarié par les parents.

Prenons une image, le vertige est une dégradation sans qu’existe un couplage ni avec sérénité ni avec équilibre. De la même façon : le retard de développement coïncide avec une famille dégradant l’ambiance sereine par la bascule de la frayeur.

Que se passe t-il réellement dans la famille pour la vaccination ?

L’acceptation de la vaccination traduit une famille oscillant entre la peur et le raisonnement. La peur commandant les raisonnements !

La frayeur de la famille est perçue par l’enfant. Il est nourrisson sans acceptation consciente et assimile la frayeur de la famille, cela imprègne son âme durablement.

La vaccination outrage l’enfant par la nocivité de la soudaineté, de la corrélation entre des maladies nombreuses, différentes. Cette dissimulation qui lui est faite (c’est pour ton bien !) détruit la perception de la dignité du soutien des parents.

La formation de l’immunité se fait pendant 19 ans. Elle est conclue à 20 ans environ. Quatre maladies différentes sont une anomalie génétique; l’immaturité immunitaire se désespère de tant de maladies inoculées simultanément. Quatre maladies convergent pour dénaturer l’immunité et spolier la confiance élémentaire de l’enfant envers sa famille. Ce sera l’autisme qui résultera très souvent de cette violence dans ce contexte d’immaturité immunitaire.

La formule de l’autisme est un cloisonnement, un verrou envers l’extérieur relationnel.

Dans une famille bien comprise : le développement relationnel grandit dans des découvertes par palier. Le renouveau se fait dans l’appui familial, le père favorise l’émulation, la mère garantit la sécurité. Le couple des parents conduit ainsi la progression de l’enfant dans un encadrement serein, d’équilibre.

La mère engendre un départ déficient vers la maturité en conduisant l’enfant à la vaccination. La disparition de la « loi symbolique» du père produit une détresse. L’enfant est conduit vers un « accident de vie » sans recours ni soutien, cela produit par la bassesse induite par la frayeur familiale.

Cette situation déclenche une frayeur devant l’accident de l’immunité que représente la rencontre avec plusieurs maladies simultanées et une intégration de la frayeur des parents. Ainsi 6 maladies pénètrent l’enfant, quatre sont le symbole d’une qualité génétique modifiée, 2 sont l’outrance. L’enfant grandit alors dans la peur de l’extérieur et de ses risques, la cloison le protège de l’ignorance de ses proches; il fait une ligne de frontière du monde hostile : Ce monde est dangereux, je l’ignore et bascule vers un isolement camouflant mon désarroi devant une interdiction de paix !

Pierre Marie le 21 mars 2016