La solitude des femmes spirituelles
La solitude des femmes spirituelles inquiète certaines d’entre elles.
Les femmes spirituelles ont une mémoire d’une cohésion connue et vécue dans des groupes de forme monastique et, de ce fait, ignorent la solitude intérieure.
Leur famille spirituelle est une certaine filiation avec Vénus, avec l’orbe solaire, le scintillement de l’étoile Déneb (de la constellation du cygne), une orientation vers la constellation d’Orion couplée avec l’amour « Myriam » (Marie).
Une femme nouvellement intégrée au mouvement spirituel s’inquiète de la légitimité de son engagement et de ses conséquences.
L’homme solitaire
Le karma de l’homme solitaire révèle une vie antérieure profonde, en unité avec l’orientation intérieure (soit, appuyée sur les qualités fondamentales, sur l’individualité essentielle).
La spiritualité de couple
La spiritualité de couple dégage une orbe[1] spirituelle spécifique.
L’orientation d’un couple spirituel approfondit la mesure de l’unité transformatrice.
La voyance comprendrait une aura verte tournoyante entre les 2 personnes ainsi qu’une éclosion particulière de chaque vibration spécifique (masculine et féminine).
La noirceur de l’orientation homosexuelle, lorsqu’elle est admise et énoncée comme une libération[2], conduit à la défaillance du couple profond, spirituel, relié au monde des étoiles-lumière.
L’institution du mariage est la célébration du Yin et du Yang dans une composition stellaire nouvelle, agrandissant le mouvement d’unité des rois et reines du monde divin.
Il y a une convenance à respecter les choix de l’homosexualité, une inconvenance à diriger les femmes entre elles les hommes entre eux. Ce terreau bénéficie à la destruction progressive considérable de l’humanité.
La justesse se découvre dans le couple spirituel. La voie de l’homme est vers le féminin grandit. La voie de la femme est axée vers le soutien et la complémentarité au masculin couronné.
Le 12 mars 2016 Pierre Marie
[1] Une zone d’influence circulaire, en quelque sorte une aura circulaire.,
[2] C’est lorsqu’elle est énoncée comme une libération de l’être, qu’elle est noirceur, pas le fait de vivre une homosexualité !