Quelle conscience, quelle disponibilité existe dans les couples ?
L’histoire de la sexualité est, pour la plupart des femmes et des hommes, un mélange de phantasmes humains et une rencontre spirituelle occasionnelle !
L’accommodation fréquente existante entre les couples relève :
– d’une association des besoins physiques,
– de l’unité de conscience du couple,
– d’une impression d’un accord partiel avec une continuité fondamentale, celle avec l’univers stellaire,
L’unité des couples associe la présence du masculin avec le féminin, du féminin avec le masculin.
Qu’en est-il de l’homosexualité ?
Sa situation profonde dérive des forces inconscientes qui ont façonné la vie incarnée.
L’aura de l’homosexualité restreint l’univers à la composante du sexe présent. L’envergure diminue alors par l’isolement d’avec le sexe complémentaire.
Une « certaine formation sociale homosexuelle » se constitue et grandit par la peur de se confronter à un autre sexe « hostile », démesurément arrogant. Le renouveau ne peut exister, l’évolution ne s’enclenche pas car deux blocages sont là :
- L’affrontement indispensable avec la caricature mise en place par l’autre sexe est repoussé,
- Le narcissisme de l’éducation et du modèle social se prolonge par l’admiration de soi-même à travers le (la) partenaire du même sexe.
La condition de l’acceptation de son homosexualité demanderait aux personnes sincères et désireuses d’examiner leur profondeur de travailler sur la réalité de l’inconscient universel (collectif) et sur l’inconscient intime personnel pour évacuer ses peurs et les rejets produits par des modèles familiaux et sociaux[1] repoussants.
Dans cette vertigineuse destruction de l’unité des sexes, le karma continue…
Une Certaine conception dominante dans la société, de la liberté des femmes, aboutit au déclin de la féminité et à la perte de conscience de l’association bienfaisante avec le masculin.
La familière « arrogance féministe » détruit la disponibilité à la complémentarité des sexes. La « misérable envergure masculine contemporaine » de l’environnement Nord-Américain découvre une dimension de la masculinité, réduite à un appareil génital, couronnée par la peur de la femme « gouvernante », égoïste et méprisante envers la masculinité[2].
L’affreuse perception actuelle véhiculée sur le masculin a la source dans les avantages inégalitaires du passé des hommes sur les femmes. Cette loi karmique a profité financièrement aux hommes et a nourrit l’influente domination féministe actuelle au niveau social, psychique ; le « retour » futur sera une revanche des hommes qui sera dissimulée sous des habits différents.
Dans notre quotidien Nord-Américain, la réalité est une « convenance détestable de déséquilibres entre les sexes » .Cela assure le karma futur de sa continuité ; Ceux qui perçoivent l’actuelle domination du féminisme ont peur et disparaissent devant l’affrontement indispensable : Eunuques psychiques, leur jalousie prépare l’inversion karmique des années futures.
Heureusement, il existe des artisans de la complémentarité des sexes
La périlleuse et marginale spiritualité des femmes et des hommes qui se connaissent réellement complémentaires est saturée des images inconscientes insupportables véhiculées dans les médias, monde politique, associations féministes !
Le mouvement complémentaire de la sexualité du masculin et du féminin témoigne des bienfaits spirituels, affectifs, physiques de l’harmonie entre les sexes.
Je vous propose un travail personnel, portant sur la qualité de votre regard : Voulez-vous constater dans votre entourage.et dans votre vie personnelle où se trouve le déséquilibre, l’offense entre les sexes, où se construit l’harmonie, la beauté, la richesse du couple ?
J’ai eu tant de témoignages souffrants de femmes et d’hommes relatifs à ces questions en thérapie; ces questions sont-si essentielles que j’ai consacré beaucoup de temps, d’attention et d’énergie à l’écriture d’un livre « La solitude des sexes ». Dans le contexte idéologique et politique qui est le nôtre, il n’a pu être qu’autoédité, donc, aux éditions « Pierre Marie ».
Il est des gens qui suivent le mouvement, qui sont soumis au moule environnant, il en est d’autres qui cherchent la lumière !
Pierre Marie le 26 mai 2015