La musique….
La floraison musicale vient d’un diapason céleste entendu par l’ange de chaque musicien.
L’effrayante dissociation des musiciens d’avec la vibration céleste contourne la justesse spirituelle et développe un contrat de dissonance musicienne. La perturbation anéantit alors le « soleil » de l’ange personnel. Cette déstabilisation induit la perméabilité de l’être aux sources noires.
La floraison des musiques ancestrales découvertes par audition angélique[1] soigne !
La brutalité de l’acoustique refroidit la sphère astrale et ouvre des failles dans l’énergie éthérique de la personne. La personnalité est alors ouverte au séisme des luttes et aux conflits entre la droiture et l’orientation différente.
L’acceptation des audiences angéliques ferme la détérioration passée. La plénitude, l’aisance acquise, la richesse intérieure qui emplissent l’être augmentent la justesse de ce qui descend, adoucissant le lien entre le haut et le bas. Satisfaction est cette gloire des anges et la destruction est oubliée !
Selon les beautés musiciennes, il y a des œuvres différentes accomplies dans l’astral et le corps éthérique !
Soigner par la musique nourrit une plénitude, une assise de l’ange personnel et une gloire du monde céleste. Cette guérison est source de lumière et de rythme, conforme au divin.
Pierre Marie Le 22 avril 2015
[1] La perception par le musicien des inspirations transmises par les anges