Chapitre « Les Anges… »
Une contrariété des Anges est la sempiternelle association entre l’Homme et la conformité environnante. Le feu de l’Ange nous éloigne des parcours insignifiants, nourrit notre liberté intérieure : L’être « Je suis » est indépendant des pensées fréquemment rencontrées dans le monde environnant.
La conscience de l’existence des lumières Angéliques est la roue transformatrice du saint, de l’apôtre avec l’unité créatrice.
Les Anges s’associent à celui qui engendre la paix spirituelle !
La solitude des Anges est l’absence de lien spirituel avec leurs complémentaires du monde physique : l’Homme s’accompagne de matériel, oublie sa fidélité ancestrale pour l’Ange.
Voici l’Ange suspendu au ciel, dépourvu d’ancrage incarné. Solitude !
La considération de nature spirituelle provient des Anges, la considération sociale est une octave de « plaisir de satisfaction matérielle » !
Le corps des Anges est lumière.
Le saint, par son être, complète le corps angélique.
Qui sont les Anges ? Une vibration en correspondance totale et permanente avec la source.
La simultanéité angélique est d’être une « lumière-information » et un déplacement incessant vers la source.
Qui connait son Ange personnel s’unit à l’unité fondatrice.
La situation des Anges est inconfortable, attendre les prémisses d’un appel de l’Homme; obéir en Haut; favoriser la liaison avec d’autres anges vers d’autres personnes.
Quel univers difficile…
Arrêter la désignation spirituelle des Anges et des Archanges aboutit au désert intérieur. La familière activité de renoncement à la connaissance des Anges a un support : l’appétit matériel, la science matérialiste, la convoitise envers les objets, le renoncement à la complémentarité des sexes.
La liberté s’arrête lorsque l’accord avec le monde Angélique n’est plus une relation prioritaire.
La fermeture décale alors l’être vers une silhouette humaine ayant perdu son aura céleste. Ce sera un Homme, éloigné de l’être humain. Un être humain consacre le monde Angélique et s’unit par lui à la source.
Le thérapeute soigne, grandit. La noblesse du thérapeute est le don spirituel désintéressé.
Pierre Marie