Nous constatons tous l’impasse de la recherche scientifique matérialiste, celle-ci est enfermée dans des dogmes et se limite par incapacité d’aborder ce qui ne relève pas strictement du monde matériel.
Ainsi, elle fait globalement plus de mal que de bien. Cela se mesure dans l’agriculture industrielle, la nourriture industrielle, les technologies dangereuses par les ondes mises à portée de tous et jusqu’aux enfants, la méconnaissance profonde de la dangerosité intrinsèque de la plupart des médicaments chimiques, etc. etc.
Sa coupure du monde non matériel, et en fait, une coupure du monde spirituel ! Cela lui enlève l’essentiel de son potentiel bienfaisant.
Ainsi, pour donner un exemple : chacun se félicite de la technologie chirurgicale pour enlever une partie d’intestin (très bien !) en oubliant que ce sont les ignorances de la science qui permettent de développer des céréales totalement extérieures au patrimoine naturel, développant des millions de désastres dans les intestins qui sont voués ainsi à la maladie et fréquemment à la chirurgie…
Quelques chercheurs désirant sortir de l’impasse de la méthode scientifique matérialiste travaillent à une nouvelle méthode scientifique, permettant d’intégrer le connu et les éléments inconnus : Il s’agit de « la méthode des inconnus » !
La « méthode des inconnus »
La science devra compter sur la « méthode des inconnus » pour avancer.
Ce sera une lutte souveraine qui dénaturera la recherche actuelle.
Il y a le secret au sujet de la méthode.
La recherche au sujet de cette méthode subit, dans l’actualité récente, la désunion entre les chercheurs par les différences de liberté personnelle.
Comment va réagir le monde scientifique ?
Cette complexité sera découverte entre 2020 et 2024.
Les différences comprendront : la lutte; l’interrogation; la fermeture des « scientifiques perroquets ».
La mémoire des autorités scientifiques est usurpée par l’avide soif de reconnaissance par « l’établissement ».
Seuls les participants aux méthodes analogues comprendront l’importance et la nécessité de lier la recherche profonde par la « méthode des inconnus ».
La recherche convaincra les scientifiques par degrés progressifs.
Pour la recherche déjà ancienne sur l’âme :
Celui qui connaît l’âme regarde sans complexe la différence perceptible entre le tangible, le ressenti, le différent et l’inconnu.
Le vivant est connu dans son enclave matérielle, le ressenti montre des phénomènes différents. La connaissance des mémoires subtiles (des mondes supérieurs) explique les mécanismes profonds.
La limite avec l’inconnu a plusieurs gradients : le supposé, l’explication présumée, l’inconnu.
Courage les chercheurs nobles et libres !
Le 18 novembre 2017.
Pierre Marie