Revenons sur cette imprégnation par l’Atlantide des Amérindiens
La chimie entre les atlantes et les amérindiens a produit un renforcement de l’individualisme :
Rappel sur l’Atlantide : l’Atlantide a périclité par l’ignorance de la complémentarité indispensable entre la matière et le monde spirituel.
La matière est le corps, la construction, les objets. Le monde spirituel lui, est celui des étoiles, des planètes, des Anges, du divin.
La relation monde spirituel-monde matière, a été dissociée dans L’Atlantide. Car la formation spirituelle de l’Atlantide a été de considérer le socle de matière travaillé par les vibrations, par un socle d’énergies, mais, sans connaître et reconnaître une hospitalité au monde spirituel ! Voilà l’immense faiblesse de l’Atlantide qui l’a conduite à sa perte.
Dans la rencontre avec les Atlantes, les Amérindiens ont donc continués de vivre leur ancrage issu de la Lémurie, mais en l’associant avec une perception nouvelle de l’individualisme, venant de l’Atlantide.
La pertinence des héritages Amérindiens accoutumés au socle de la Lémurie a imaginé une perception de l’individualisme comme étant l’héritage principal de l’Atlantide : Ainsi, la qualité de la collectivité Amérindienne qui s’était précédemment ancrée et nourrie par la Lémurie a éclaté dans les comportements, instruits en individualisme. Ce fait nouveau a été porté par les guerriers Amérindiens[1] : ainsi la qualité de la vie en village, en tribu a été dissociée du domaine de la vie guerrière, construction d’exploits instruits individuellement.
L’examen de ce phénomène nous aide à comprendre l’origine de l’Individualisme, qui est une caractéristique dominante en Amérique du Nord, et qui produit tant de malheurs !
[1] Certains récits concernant les Amérindiens et les guerres entre Européens aux 17 ième et 18 ième siècles ont montré cette grande faiblesse Amérindienne plus préoccupée d’exploits individuels des guerriers que de stratégie collective !
« Pour le guerrier, le champ de bataille est le lieu d’une quête personnelle de gloire et de butin. Aucune ne récompense la discipline ou l’effort collectif. L’historien américain John M. Gates remarque que « les Amérindiens n’étaient capables que de violence ponctuelle, de guérillas qui, si elles témoignaient d’éclairs de génie tactique, étaient dépourvues de toute réflexion stratégique ». Toute manifestation rationnelle de leur part n’aurait révélé, de toute manière, que la réalité d’un destin scellé. Wikipédia. »
Pierre Marie