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La spiritualité dans les  différentes civilisations et dans les peuples – article 2- Les sons des voix, les façons de parler des peuples et civilisations, ce qu’ils traduisent de la vie spirituelle.

Les façons de Parler, les différentes tonalités des langues, les accents spécifiques selon les pays ou régions du monde résultent des dimensions  psychiques et spirituelles d’un pays.

J’ai pour ma part, toujours été vivement intéressé par les accents régionaux, les sonorités de langage des différents pays et la perception des différentes parties du corps qui entrent en jeu pour former les sons. Par exemple, de façon évidente, nous connaissons comment les Français parlent « clair » avec la gorge et  L’Amérique du Nord parle, elle,  avec  le nez. Pourquoi ?

Nous allons en premier lieu examiner les réalités des langages sonores dans l’époque contemporaine, puis nous regarderons les racines très anciennes de cela.

 

La continuité des accents spécifiques, des façons de Parler, de la tonalité de la langue, selon les régions, les pays, est la traduction du climat psychique et spirituel des Hommes d’un pays.

Visitons différents pays à ce sujet :

  1. Le climat spirituel de la société Indienne a induit une tonalité liturgique de la langue.
  2. La continuité de l’accent des américains du Nord est le fait d’une lenteur d’adaptation intérieure. Leur adaptation ne correspondant pas à l’alignement sur l’essence spirituelle souhaitée : il en résulte une faiblesse de la gorge[1] et en conséquence, la voix chuinte en nasillant.
  3. La métropole Française est contrariée devant sa disponibilité à vivre  une expression amenée par le ventre; Les Français souhaitent annihiler leur instinct en le remplaçant par le son haut et clair de l’intelligence. Ainsi, la bouche et la gorge coupées du ventre donnent une sonorité claire et sonnante : Plus particulièrement, les Parisiens sont hauts dans l’orgueil, donc ils parlent par la bouche, mais en haut dans la gorge…
  4. La faiblesse des asiatiques correspond à:
  • Un intellect qui a une place secondaire
  • Une soumission aux règles environnantes :

Pour les asiatiques, l’intonation est donc mineure par rapport à ce qu’insufflerait le rythme du corps dans la voix. L’intonation est  déterminée par les  hésitations de l’être entre les 2 disponibilités : choisir sa vie intérieure profonde ou bien suivre la règle de la soumission ( lire l’information en bas de page relative à l’écrasement de l’individu devant l’état en Chine).

  1. L’Afrique est basée sur la régularité des sons : l’oubli de l’Afrique est celui d’un ordre, voire d’une organisation de vie centrés sur la vie matérielle : L’accentuation Africaine est ainsi le rythme avec une accentuation volontaire des mots pour « sonner ».Le son est une octave du rythme, pas de la « loi » !

Voici un exemple sonore Africain 

  1. Les amérindiens du Nord veulent exprimer leur accord ancestral avec le feu, la terre, l’eau, l’air. Ils chantent les mots avec les quatre éléments successivement.

 

Ainsi, les résonances venant  des limites qui se sont formées et qui  ont été inculquées dans les origines historiques des peuples permettent de comprendre les réalités des libertés profondes …

[1] le chakra de la gorge est au ralenti, n’oublions pas que ce chakra est le »tambour divin », ouvert il accueille les informations spirituelles…Fermé : il n’accueille…rien du monde spirituel !

Pierre Marie 

Concernant les caractéristiques des sociétés asiatiques, voici une  Illustration: celui de la société chinoise. Extraits ci-dessous d’un article de Jean marc Dupuis,

« Des souriceaux nés de parents du même sexe » paru le  21 10 2018 J.M. Dupuis
…../
Des chercheurs, membres de l’académie chinoise des sciences, ont annoncé avoir obtenu des souriceaux en bonne santé à partir de deux souris femelles. En effet, ce n’est peut-être pas un hasard si ces progrès toujours plus audacieux sur la reproduction ont lieu en Chine.

La Chine, pays où les humains sont traités comme des choses au service de l’Etat

Rappelons que la Chine est une dictature qui a tendance à traiter ses citoyens comme de la « matière première » au service du parti unique.

Selon les époques, la population est massacrée (Grand Bond en avant, Révolution culturelle…), la surnatalité obligatoire (« Un enfant, c’est une bouche, mais c’est aussi deux bras », disait Mao) ou alors quasi interdite (politique de l’enfant unique depuis Deng Xiaoping).

Ce qui frappe quand on lit l’histoire récente de la Chine est l’indifférence apparemment totale des dirigeants chinois au bien-être de la population. Priorité est systématiquement donnée à l’idéologie et à la puissance du parti central, les personnes n’étant qu’un moyen pour étendre l’influence des dirigeants et le prestige national.

Autre exemple en ce sens dont on en parle bizarrement très peu en Occident : la population chinoise sert actuellement de matériau à la première expérience grandeur nature de « dictature informatique totale  » :

 

Dictature informatique totale

Plus de 200 millions de caméras à reconnaissance faciale ont été installées à travers le pays pour un suivi à la trace des citoyens 24 h sur 24, où qu’ils se trouvent .

Leurs moindres faits et gestes, paroles, consultations de sites Internet, achats, sont enregistrés par un système centralisé qui attribue une « note de crédit social » à chaque citoyen.

Vous commencez avec un capital de 900 points, qui diminue chaque fois que vous faites ou dites quelque chose jugé indésirable par le régime.

Pire : votre note baisse aussi si quelqu’un de votre entourage (famille, ami, collègue, contact sur Internet) fait ou dit quelque chose jugé contraire aux intérêts du Parti.

Plus votre note baisse, plus vous vous rapprochez de la mort sociale : retrait de votre passeport, perte de votre travail, de votre maison, perte du droit de louer ou conduire une voiture, de louer une chambre d’hôtel, de prendre le train… Considéré comme un « parasite social », celui qui perd ses points disparaît ou rejoint les camps de rééducation, où 1,5 million de personnes sont déjà internées.

Je vous invite à regarder les images stupéfiantes de ce système de surveillance digne de Matrix, publiées dans les médias : https://www.abc.net.au/news/2018-09-18/china-social-credit-a-model-citizen-in-a-digital-dictatorship/10200278

Bientôt des usines pour fabriquer des humains ?

Bref, plus que jamais la Chine de 2018 traite ses citoyens comme des choses, des objets qu’on peut jeter à la poubelle quand ils sont considérés comme inutilisables ou viciés.

Dans cette perspective, l’intérêt du gouvernement chinois pour les techniques de reproduction, ou plus exactement de fabrication d’êtres humains en laboratoire – et demain, peut-être, en usine –, est particulièrement inquiétant.

La dernière barrière au projet de soumission totale des individus au Parti communiste reste les solidarités familiales, le réflexe archaïque de protection que des parents peuvent éprouver pour leurs enfants, et vice-versa. Envoyer des gens dans des camps continue de poser problème lorsqu’ils ont des parents, des grands-parents, des frères ou des sœurs, ou des cousins, qui s’inquiètent pour eux et risquent de protester.

Fabriquer des êtres humains hors d’une généalogie clairement identifiée est au fond le meilleur moyen d’avoir à disposition une population encore plus soumise. Vous pourrez faire d’eux n’importe quoi, car ils n’auront plus de liens de solidarité profonds avec des personnes prêtes à tout pour les défendre, comme une mère ou un frère.

 

Une réflexion au sujet de “La spiritualité dans les  différentes civilisations et dans les peuples – article 2- Les sons des voix, les façons de parler des peuples et civilisations, ce qu’ils traduisent de la vie spirituelle.

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