« L’information spirituelle abonde et nourrit les âmes en recherche spirituelle. »
La violence
- La violence exercée par les femmes[1] envers les hommes :
La violence exercée par les femmes engendre une lésion karmique de l’anneau constitué des témoins de l’Un; cette violence se grave dans cette enceinte spirituelle[2]. Cet enregistrement dans le lieu des mémoires spirituelles grandira la détermination à accentuer la réparation karmique nécessaire. La violence exercée par les femmes couronne l’affreuse distorsion entre les femmes et les hommes.
Le thérapeute connaît la réalité spirituelle et vivifie la forme complémentaire masculin-féminin.
- La violence exercée par les hommes envers les femmes :
La violence consume la forme « lumière » des hommes s’abreuvant à la violence envers les femmes.
- Le travail des thérapeutes
La véritable profondeur d’un travail de thérapeute est de nettoyer la « filiation descendante[3] » de cette dimension, d’ouvrir un éclaircissement véritable et de rencontrer la disponibilité d’association femme-Homme véritable !
La vitesse de détérioration entre les sexes rend indispensable la perception spirituelle de la part des thérapeutes.
- Dans un contexte relationnel femme-homme qui est très dégradé
L’accentuation d’un féminisme dévoyé oppresse la liberté intérieure des femmes et des hommes, désorganisant la fréquence vibratoire de la liaison entre féminin et masculin.
La tendresse réciproque est en déclin constant et grandit la « porosité » des âmes envers les valeurs marchandes et les valeurs de concurrence entre les sexes.
La méchanceté se cache derrière ce qui est en fait un « rayonnement de vengeance » et dissimule la véritable liaison vers les valeurs socialement environnantes de « jalousie », de « rancœur », de « duplicité ».
La voyance comprendrait un désarroi, dissimulé derrière ce désarroi : une flamme nocive, laquelle est un affluent des désordres; flamme portant le signe de l’oxydation des « fleurs spirituelles »…
Pierre Marie
Le 9 février 2016
[1] Cette violence est essentiellement une violence psychique (la pire des formes de violence car elle est dissimulée et par la personne qui l’utilise et non reconnue par la personne qui la subit). Ou bien une violence physique (la statistique Française de l’observatoire national de la délinquance et des réponses pénales établissait pour 2012-2013, que parmi les personnes ayant portées plaintes pour violence subie, 72% sont des femmes et 27% sont des hommes. De plus, Quand 10 femmes sur 100 déposent plainte suite aux violences qu’elles ont subies, seuls 3 hommes sur 100 osent se tourner vers la justice…
[2] L’anneau constitué des témoins de l’Un.
[3] La filiation descendante est la mémoire énergétique, la plupart du temps non présente dans le conscient, descendant depuis la grand-mère, le grand père, la mère, le père, la tante, l’oncle, etc… et active dans la personne, dans sa vie aujourd’hui, souvent à son insu.